Vous le savez  surement autant que moi, le HardRock connu une air de rennaissance au débuts des années 2000. Avec entre autre Jack Black prêchant à qui veut bien les vertues du Rock'N'Roll ou bien plusieurs formation musical émergent avec le même son (ou presque) que leurs idoles tel Led Zeppelin et Aerosmith. Parmis ses groupes de jeunes fêtard se retrouvaient entre autre The White Stripes, The Darkness, Jet et The Vines (les deux dernier étant d'ailleur d'Australie).

Mais il y avait aussi the Strokes! Considéré comme un band de Indie-Rock, ces jeunes New-Yorkais ont réussi à obtenir un son unique à eux, très éloigné des pâle réplique du téméraire ACDC. D'ailleur, leur ''son'' réflète la personnalité de ce groupe: Sale, mais avec une certaine élégance, comme quelqu'un qui s'est mal savonné pendant sa douche. Parmis les caractéristique de leur sonorité se retrouve des gros riff électrique piquer à la dymamite, des mélodie de guitares qui semblent littéralement se balader vers le haut et le bas, une section rythmique grasse mais toutefois pointue et une voix, manipuler par Julian Fernando Casablancas au chant, qui transpire l'alcool et les cigarettes. Le chant est d'ailleur assez unique en sois. Sans, avouons-le, avoir une puissance de voix digne du Roi Lézard, Julian Fernando Casablancas fait parfaitement almalgamer sa voix dans le mélange qui puent d'avance le lendemain de veille et le sexe pas propres. The Strokes est selon moi un des rare groupe ou chacun à sa place et son rôle, et que ça fonctionne!

Malgré une bonne notiriété et une grande réserve de fan international ne sont pas parvenu à monopoliser les temps d'antenne Québécoise (Oh! Quel surprise!). Le groupe est d'ailleur encore bien en chair et ils travaillent maintenant leur 5ème album.

Si je vous parle de leurs deux premiers album (Is This It?, 2001 - Room On Fire, 2002) c'est parceque les deux se suivent et se ressemble tellement, sans que cela soit une critique, qu'ils peuvent s'écouté un à la suite de l'autre, comme si ce n'était qu'un seul album. Étant donné d'ailleur la courte durée des albums ( environ 30min chancun, 11 chanson chaque), les deux se mêle très bien ensemble malgré peut-être une certaine touche de redoudance qu'on pourrait reconnaître entre les pièces. Si nous pouvons toutefois les comparer, Is This Is? semble d'avantage cramper sur le bon-enfant tandit que leur second disque, Room on Fire, semble un tantinet plus agressive.

Mais, selon moi, ce qui vaut le détour sur ces albums est le vent de fraincheur qui l'en ressort. Après une écoute, on semble presque déjà fraterniser avec ce band de petit voyous. Ce sont deux albums unique et original, deux qualité qui selon-moi ne sont pas seulement en décroissance dans le domaine de la musique, mais aussi dans le domaine des groupes de Rock. Sans tomber dans de piètre stéréotype comme nous l'ont malheureusement démontré The Darkness, The Strokes nous rappelle ce que c'est que de ''vraiment Rocker'' la tête haute tout en gardant un brin de nouveauté à leur côté.

Je conseil fortement ces deux albums à tout ceux qui s'ennuit, dans leur salon, à réécouté leurs vieux disque des années 70 comme si le bon vieux temps était loin derrière. The Strokes nous prouvent que nous ne sommes pas forcement obligé de constamment retourner dans le passer pour revenir à l'éssentiel. Les années 2000 sont de très bonne années musicals et ce serait un sacrilège de passer à côté.

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